Collier ras du cou artisanal autochtone - Os et cristal

Magnifiquement fait à la main par les « Cree Sisters ».

Ceux-ci sont uniques et ne seront plus jamais fabriqués comme ça.

• Entretoises en filigrane métallique
• Perles en os de bœuf
• Cristaux

Historiquement, les colliers amérindiens étaient utilisés comme une forme de protection pour les guerriers tribaux, protégeant la jugulaire et détournant les flèches du cou au combat. Parfois, ils étaient également attachés à des plastrons complets, car l'os est une ressource naturelle très solide et presque impénétrable.

Dans la culture indigène, les colliers ras du cou étaient souvent un signe de richesse, et le fait d'en porter un indiquait un rang social élevé. Ils étaient également parfois portés lors de certaines cérémonies tribales.

Le collier en os autochtone servait non seulement à protéger le guerrier physiquement mais aussi spirituellement. Plus précisément, le collier était censé protéger la voix et donner de grandes capacités d'élocution à celui qui le portait. Le collier en os guiderait le guerrier pour qu'il dise la vérité directement depuis son cœur.

On croyait que l'esprit de l'animal qui avait fabriqué le collier était invoqué lorsqu'il était porté. En fait, certains autochtones avaient des visions d'animaux spécifiques et demandaient au sorcier de la tribu de fabriquer le collier pour eux. Les colliers ras du cou en os étaient généralement fabriqués par le sorcier afin qu'il puisse utiliser son pouvoir spirituel pour insuffler à la pièce protection et pouvoirs, lui donnant ainsi une signification particulière et personnelle pour celui qui le portait. On pensait parfois que le nombre de brins utilisés pour le fabriquer avait également une signification particulière.

Enfin, le collier en os était considéré comme une façon d'honorer la vie et de respecter le sacrifice de l'animal dont les restes ont été utilisés pour le créer. La culture autochtone est très en phase avec la nature et croit que chacun de ses éléments possède son propre esprit qui doit être considéré comme sacré. Pour cette raison, chaque partie fonctionnelle disponible d'un animal est utilisée après la mort.